Niché dans l’espace sombre du cube, Sweet Zenith s’amuse d’une chaine de réactions qui génère l’électricité nécessaire au fonctionnement de l’installation. Au milieu de ce micro-univers, un pendule se balance de façon désordonnée à la recherche d’un calme qu’il ne retrouvera qu’à son retour au centre… ce qui provoquera à nouveau le chaos.
Le système, complètement indépendant, est toutefois limité par l’espace dans lequel il se trouve. Celles et ceux qui sont passé·e·s par l’IKOB à Eupen cet été ont d’ailleurs pu observer l’installation dans sa seconde configuration.