Le monde s’effondre pour une femme au foyer et « bonne chrétienne » de la banlieue américaine lorsqu’elle réalise que l’argent avec lequel elle subvient à ses besoins provient du cinéma porno de son mari, que son fils est le célèbre “Baltimore Stomper”, que sa fille est enceinte d’un voyou local, et que son mari a une liaison avec sa secrétaire.
Polyester, du pape du cinéma trash John Waters, est une satire du genre mélodramatique des « women’s pictures » (notamment les films réalisés par Douglas Sirk dont le travail a directement influencé Polyester), ainsi qu’une satire de la vie de banlieue américaine au début des années 1980.